Script of a walk (no breaks)

This walk took place on 16 September 2022,
over a distance of 8.4 km and lasted 126 minutes.I walk east, across the tarmac. After forty steps I pass two barns. I follow the road, down the slope, turning slightly to the left. At the bottom, I turn right onto another road, almost in the opposite direction. On the left is a large soft grass field, on the right a hill. About 100 steps further, I turn left onto a path of gravel and crushed stone. The path bends slowly to the right and uphill. I pass another path on the right, covered in grass, but walk straight ahead. After a swampy area on the right, I see a bank behind which is a lake. The path on which I walk meanders on, alternately ascending and descending. I walk on and between the trees I see that the lake ends. Then, after a few metres of bushes, the second lake begins. I continue down the path and come to a fork in the road. I follow the gravel path to the left, past the third lake. The path rises again, branches off to the left and leads to a fork a little further on. I now take the path to the right, along the edge of the forest. To my right is a field, glowing in the sunlight. After a while, the path I walk on runs into the forest. It is cooler here. After sixty steps, the path bends to the right, past a flowing spring on my left. A little later, the forest ends and to the left of the path is a hedge of trees in front of a meadow. To the right is open land. After walking for a few minutes, I see an old empty farmhouse between the trees. On the bare walls is canvas tarpaulin. I follow the path further to the left and up, and at a junction I turn left again into another stretch of forest. The path here is formed of clay and filled with dry leaves. My footsteps sound different, dry, rustling. On the left side of the path is a neglected meadow, with bushes and some big old trees. The path is fairly flat here, only starting to rise again a little further on as it bends off to the right. To the left and right are orchards with walnut trees. After about five minutes, the path ends at an asphalt road. On the road, I turn left and walk in the direction of a village some distance away. On both sides of the road is fields of grass. On the left cows are grazing, on the right there is nothing. Walking into the village, I first pass a large manicured garden, after that houses on both sides. In the distance, I hear the sound of a brushcutter. Close by, a small dog in a garden barks at me. The road goes straight through the village and continues between walnut trees. After a few minutes is a stop sign at a junction. I turn left and pass an old farmhouse. Past the farmhouse, I turn right and walk towards the motorway. The road surface is full of cracks. The road goes up and the landscape in front of me is smoothly mown grass and rolling. The road ends between two houses by a junction at the motorway. When no cars are approaching, I quickly cross. On the other side, the road continues in the same way, as if the motorway has only cut a piece out of it. On both sides are walnut orchards. There is no wind, silence everywhere. The road continues in a straight line and some time later I enter a village. The first building is the farm to which the orchards probably belong. Then some country houses and gradually the rest of the village. Before approaching the centre, I turn right onto a rising road, which leads to the next village. Now and again a car or a tractor passes-by. Nothing else happens. A steep road takes me to the next village where it is just as quiet. Like a ribbon, the road winds between the houses. I cross a junction and head up an old path. Along the side stand two disused dovecotes, an old shed. Rounding a large tree, I turn left and climb up a grassy path. At the top, I have a view of the landscape and try to follow the trail all the way back to where I started.

Scénario d’une balade (sans pause)

Cette balade a eu lieu le 16 septembre 2022,
sur une distance de 8,4 km pour une durée de 126 minutes.

Je marche vers l’est, en traversant le macadam. Après une quarantaine de pas, je passe devant deux granges. Je suis la route, je descends la pente, je tourne légèrement à gauche. En bas, je tourne à droite sur une autre route, presque en sens inverse. Sur la gauche, un grand champ d’herbe verte, sur la droite, une colline. Une centaine de pas plus loin, je tourne à gauche sur un chemin de graviers et de pierres concassées. Le chemin s’infléchit lentement vers la droite et vers le haut. Je prends un autre chemin sur la droite, couvert d’herbe, et je continue tout droit. Après une zone marécageuse sur la droite, j’aperçois un talus derrière lequel se trouve un lac. Le chemin sur lequel je marche serpente en alternant montées et descentes. Je m’engage entre les arbres et je vois le début d’un deuxième lac. Je poursuis le chemin et arrive à une bifurcation. Je prends le chemin de gravier sur la gauche, en passant devant le lac en question. Le chemin s’élève à nouveau, bifurque vers la gauche et mène à une fourche un peu plus loin. Je prends alors le chemin de droite, qui longe la lisière de la forêt. A ma droite se trouve un champ qui brille sous la lumière du soleil. Après une soixantaine de pas, le sentier bifurque vers la droite et je longe un cours d’eau sur ma gauche. Un peu plus loin, la forêt se termine et toujours sur la gauche se trouve une haie d’arbres devant un pré. A droite, il y a un terrain ouvert. Après quelques minutes de marche, j’aperçois une vieille ferme abandonnée entre les arbres. Sur les murs nus, il y a une bâche en toile. Je poursuis le chemin vers la gauche, et plus haut, à un croisement, je tourne à nouveau à gauche vers une autre partie de la forêt. Le chemin est ici formé d’argile et rempli de feuilles sèches. Mes pas bruissent sur les feuilles et produisent un son très sec. Sur le côté gauche du chemin se trouve une prairie négligée avec des buissons et quelques très vieux arbres. Le chemin est assez plat ici, et ne commence à s’élever qu’un peu plus loin, lorsqu’il tourne à droite. À gauche et à droite se trouvent des vergers avec des noyers. Au bout d’environ cinq minutes, le chemin débouche sur une route goudronnée. Sur cette route, je tourne à gauche et me dirige vers un village situé à une certaine distance. Des deux côtés de la route se trouvent des champs herbeux. À gauche, des vaches broutent, à droite, il n’y a rien. En entrant dans le village, je passe d’abord devant un grand jardin, bien entretenu, et plus loin quelques maisons se trouvent des deux côtés de la route. Au loin, j’entends le bruit d’une débroussailleuse. Tout près de moi, un petit chien aboie dans un jardin. La route traverse le village de part en part et continue entre les noyers. Après quelques minutes, il y a un panneau stop à un carrefour. Je tourne à gauche et passe devant une vieille ferme. Après la ferme, je tourne à droite et je marche vers l’autoroute. La chaussée est pleine de fissures. La route monte et le paysage vallonné qui s’offre à moi est constitué d’herbe bien tondue. La route se termine entre deux maisons, entre un carrefour et l’autoroute. Puisqu’aucune voiture n’approche, je traverse l’autoroute rapidement. De l’autre côté, la route continue de la même façon, comme si l’autoroute l’avait découpé en morceaux. Des deux côtés se trouvent des vergers de noyers. Il n’y a pas de vent, le silence est partout. La route continue en ligne droite et un moment plus tard j’entre dans un village. Le premier bâtiment est la ferme à laquelle appartiennent probablement les vergers. Ensuite quelques maisons de campagne et peu à peu le reste du village. Avant d’arriver au centre, je tourne brusquement sur une route qui monte et mène au village suivant. De temps en temps, une voiture ou un tracteur. Rien d’autre ne se passe. Une route raide me conduit au village suivant où tout est aussi calme. Comme un ruban, la route serpente entre les maisons. Je traverse une intersection et m’engage sur un vieux chemin. Sur le côté se trouvent deux pigeonniers désaffectés et un vieux hangar. En contournant un grand arbre, je tourne à gauche et monte sur un chemin herbeux. Au sommet, j’ai une vue sur le paysage et j’essaie de suivre le sentier jusqu’à mon point de départ.